Préparation :

¬ Mélanger la farine avec la levure, l’huile puis l’eau salée et terminer par les amandes

¬ Ne pas trop pétrir sinon ils ne sont pas fondants. Le mélange doit être assez compact.

¬ Laisser reposer la pâte sans la couvrir 1/2 heure

¬ Étaler la pâte au rouleau (1 cm)

¬ La découper avec un moule rond dentelé du diamètre d’un verre à moutarde

¬ Faire des trous avec les doigts à 1 cm du bord de la rondelle et un autre au centre

¬ Disposer les karshbil sur la plaque du four préalablement farinée

¬ Saupoudrer de graine de sésame

¬ Four à 180º pendant 20-25 minutes

 

Pour les conserver, le mieux c’est encore une boîte à chaussure tapissée de papier de cuisine pour absorber le gras et les protéger de l’humidité.

 

La référence pour les Karshbil : Gilette Amram

 

KARSHBIL

 

Ingrédients :

¬ 1 kg de farine tamisée

¬ 1 paquet 1/2 de levure chimique

¬ 2 verres d’huile

¬ 1 verre d’eau

¬ Amandes effilées

¬ Graines de sésame

Le karshbil ou galette (appelée aussi rosace aujourd’hui en Algérie) est un des rares gâteaux non sucrés du Constantinois. De fait, il se consomme plus fréquemment dans l’après midi avec un bon café qu’en dessert. Bernard Touitou (zal) le mangeait avec un morceau de sucre. Mais quelque soit la façon ou l’heure de le déguster, il reste le favori d’entre tous. Je soupçonne d’ailleurs de nombreux constantinois de ne venir aux hashkaba que pour en manger.

 

 

Réalisé par Valérie Amram d’Onofrio et Tarek  Ben Ameur