Site de la famille AMRAM

L’ORGANISATION DE LA COMMUNAUTÉ JUIVE AVANT 1962

Par Alain Guedj

 

Sidi Fredj Halimi (1876-1957) :

Grand Rabbin né à Constantine en 1876, décédé en 1957.

Sidi Fredj Halimi a exercé ses fonctions de grand Rabin pendant la période la plus difficile qu'a connu la communauté juive d'Algérie, du point de vue spirituel.

 

Il s'est distingué dans 3 domaines :

 - l'étude du talmud et de la halakha

 - les drachots pour le grand public

 - sa forte influence sur la communauté.

 

 

 

17° siècle :

 

Messoud Zerbib (1655-1717) :

Le rabbin Messaoud Zerbib dit Rabbi Messaoud Zerbib el 'Hassid, est né à Constantine en 1655.

Une synagogue de Constantine portait son nom et la place qu’il y occupait a été murée après sa mort afin que personne ne la profane. Il est l’auteur de ‘Zérah émeth’ (commentaire approfondi de la Torah), livre qu ‘il écrit après avoir perdu 14 enfants. Il explique : "si je n'ai pas de fruits de la semence de mon corps, j'aurai des fruits de la semence de ma Torah". Pendant l'écriture de ce livre, son épouse lui donne deux autres enfants, Binyamin et Chalom.

Rabbi Massoud achète un immeuble (slet Dar Rabbi Messaoud) à Constantine dans le quartier Maked el Hout, rue José Ksentine, et le transforme en lieu de prières et d'études de la Torah. En 1715 il décède et ses deux fils lui succèdent.

Le 14 Mai 1970, (8 Iyar 5730) son corps est inhumé pour être transféré à Jérusalem au cimetière du Mont des Oliviers (Har Hazetim) ainsi que ceux de ses deux talmidims  et  de trois membres de la famille Tenoudji par Samuel Zerbib (zal) et le Rav Moshe Zerbib.

Chaque année le 8 Iyar, a lieu un pèlerinage (hilloula) sur sa sépulture au cimetière Har Hazetim à Jérusalem.

 

Source : Moshé et William Zerbib (9º et 10º génération)

 

Yoseph Boussoussa

 

Shalom Guedj

 

Moshe Ben Yehuda Moati

 

Israël Zerbib

 

Shalom Zerbib

 

 

 

Yossef Renassia (1879-1962) :

Grand Rabbin né à Constantine en 1879.  Décédé à Dimona en 1962.

Il a été juge et éducateur de la communauté de  Constantine. Il occupe aussi les postes de directeur du Beith–HaMidrach, membre du comité directeur de l’Alliance, membre  du comité de la Yeshivah Etz Haïm.

Il fut très influent non seulement à Constantine, mais  toute l’Algérie  et le Maghreb oriental.

Il a rédigé 130 ouvrages qui traitent de l’ensemble des études juives. Ses écrits furent préservés grâce à la correspondance qu’il  entretenait avec le Président Itzhak Zhak Ben Tsvi, auquel il avait coutume d’envoyer ses ouvrages dédicacés et qui sont conservés actuellement à Jérusalem, à la bibliothèque nationale, à l’Institut Ben Tsvi, et à l’institut Guai Inasse fondé à sa mémoire.

Reuben Doukhan

Mikhaël Cherbit 1920-2002

Benjamin Assouline est né en 1918 à Constantine.  Rabbin, il fut arrêté par les Allemands mais lors de la débâcle française de 1940, il réussit à s’évader et se réfugie à Lyon. Nommé rabbin de la communauté sépharade de Lyon, il contribue à son développement. Il décède en 1993 au moshav Beth Ouziel en Israël où il occupait le poste de rabbin depuis son alyah.

Benjamin Assouline (1918-1993) :

Emmanuel Chouchena (1928-2008)

Né à Constantine en 1928, il nous a quitté le 24 juillet 2008 (21 Tammouz 5768) à Jérusalem.

Fils du grand-rabbin Yaakov Chouchena et de Nouna Guedj, il a grandi a Bône. A la mort prématurée de son père, le grand-rabbin Rahamin Naouri devint son maître et tuteur.

Il quitte l'Algérie pour poursuivre ses études religieuses à Aix-les-Bains, avec Shaül Naouri et René Sirat Shlita, qui, comme lui, deviendront des grandes figures du judaïsme français.

Il intègre ensuite le Séminaire israélite de France, dirigé par le grand-rabbin Liber et suit les cours de Talmud du grand-rabbin Ernest Gugenheim avec qui il se lit d'une amitié que seul le décès de ce dernier interrompra.

 

 

Il occupe son premier poste de rabbin à Lille, qu'il quitte pour retourner en Algérie, appelé par son beau-père le Il occupe son premier poste de rabbin à Lille, qu'il quitte pour retourner en Algérie, appelé par son beau-père le grand-rabbin Rahamim Naouri.

En 1962, il poursuit sa carrière rabbinique, puis dirige le Séminaire israélite de France, à la mort du grand-rabbin Gugenheim.

Il est également l'un des quatre dayanim du Beth-Din de Paris, œuvrant sans compter pour créer et structurer la cacherout de Paris et de toute la France. A l’image de tous les rabbins du constantinois, il est Maître en Talmud, Halacha et Midrach, expert en Ch'ita, Mohel et Sofer.

Durant de nombreuses années, il sillonne la France pour délivrer d'innombrables conférences, et régler les aspects techniques de la construction de Mikvaot. Pionnier de l'activité rabbinique auprès des jeunes, le mouvement de jeunesse Tikvatenou, qui connut sous son égide un formidable essor spirituel.

 

Source : Le P’tit Hebdo, Jérusalem

Yemei Avraham. Guemara

Yaacov Chouchana (1900-1938)

 

Ra’hamin Naouri (1902- 1985)

Une des figures les plus marquantes du vingtième siècle, Rabbi Rahamim est le beau-père et le directeur spirituel de rabbi Chouchena. Il a formé également des rabbins aussi célèbres que René Samuel Sirat grand-rabbin de Paris. Il est nommé grand-rabbin de Bône en 1938. Il obtient pour les jeunes élèves et les étudiants juifs de sa communauté une dispense de ne pas écrire le Chabbat dans les écoles publiques.  Le Grand-Rabbin Rahamim Naouri contribua à la création et au développement d’une école rabbinique en Algérie.

Il développe le système de la cacherout et fonde une koupat tsedaka pour les pauvres de la ville - koupat Eliaou Hanavi.

En 1962, lors de l'exode des juifs d'Algérie, il  prit avec lui un Sepher Thora du 18º siècle auquel on prête des vertus miraculeuses  et le dépose dans sa synagogue à Paris. A Paris, Rahamim Naouri, aidé de ses disciples comme les rabbins Emmanuel Chouchena, René Sirat et Saül Naouri (son fils), se fixe pour tâche de préserver les acquis religieux de ses compatriotes et de faire retrouver aux juifs de France les valeurs originelles du judaïsme.

Il donna ainsi un souffle nouveau à la spiritualité juive en France.

Devenu Av Beth Din du tribunal rabbinique de Paris, il transforma de façon radicale cette institution et lui conféra une efficacité qui devait faire face aux besoins énormes d’une communauté religieuse dont le nombre devait dépasser les 300.000 personnes. Dans les années 80 il s’installe en Israël et  fonde, à Jérusalem, la Yéchiva Chaare Rahamim. Il décède en 1985 à Jérusalem.

 

Source : judaisme.sdv.fr

LES RABBINS DE CONSTANTINE

 

A Constantine, une des trois grandes villes d’Algérie, vivait une communauté juive importante et traditionnelle, qui comptait plus de vingt mille âmes.

 

1. LE TRIBUNAL RABBINIQUE

 

A la tête de la communauté se tenait, au côté du Consistoire, le Tribunal Rabbinique composé de trois juges : les Rabbins Sidi Fredj Halimi, Shimon Doukhan et Yossef Renassia.

 

Ces maîtres étaient souvent aidés dans leurs décisions par d’autres Dayanims.

 

Le Tribunal Rabbinique tenait séance quand surgissait un problème sérieux dans la communauté.

 

2. LES RABBINS ET LEURS FONCTIONS

 

Le  Tribunal Rabbinique était composé d’une équipe de Rabbins qui s’occupait de la Cacheroute,  de  l’enseignement religieux, et de la bonne marche des offices dans les différentes synagogues de la ville.

 

Les abatteurs de bétail, les Choétes étaient  les Rabbins  Jacob Chouchana, Yéchoua Lalloum, et Abner Nakache dit Bébert.

 

L’abattoir de la volaille  était géré en dernier par le Rabbin Réouven Doukhan.

 

3. l’enseignement  religieux

 

Il existait  trois sortes d’établissement scolaires religieux :

 

Le Talmud Thora, l’Institut Wesveiler et la Yeshiva Etz-Haïm.

 

Y Le Talmud Thora crée par Salomon Adida,  accueillaient les élèves de cinq à treize ans. Plus de mille élèves se pressaient dans les différentes classes. On enseignait la lecture de l’hébreu, la cantilation des neumes du texte biblique et la traduction de fragments de textes sacrés, dans les grandes classes, on enseignait aussi les rudiments du commentaire classique de Rachi, l’étude du Talmud et des notions de grammaire hébraïque.

 

Y L’Institut Wesveiler, a été fondé par un mécène, Monsieur Wesveiler. Il était réservé à l’enseignement des jeunes filles qui apprenaient les bénédictions usuelles et les règles d’usage courant.  

 

Y Dans la Yéchiva Etz – Haim , les élèves suivaient  des cours supérieurs pendant cinq années. Le programme comprenait l’étude du Pentateuque à la lumière du commentaire de Rachi, de certains traités talmudiques : Baba Kamma, Baba Mestia, et Baba Houlin. L’enseignement  était donné en langue judéo-arabe usuelle.

 

Pendant les années difficiles du régime de Vichy, un groupe de jeunes Rabbins  étudiaient dans la Yéchiva de Sidi Fredj Halimi, le traité Bessa.

 

4. arba ammot  : les quatres coudees

 

Une pièce leur était réservé dans le bâtiment consistorial du Palais de Justice, place Négriers à l’intérieur duquel les Rabbins Shlomo Zerbib, David Cohen, Sion Chekroun et Benjamin Renassia, se réunissaient quotidiennement pour l’étude du Talmud.

 

5. les dix batlanim

 

Une pièce était réservée dans le bâtiment consistorial du Palais de Justice, place Négriers aux dix Batlanim (Etudiants permanents de la Thora), le Rabbin Réouven Guedj, dirigeait l’emploi de ces dix batlanim.

 

Ils psalmodiaient le psautier en entier,  la section journalière de la paracha hebdomadaire et aux heures libres se consacraient à l’étude de la Michna.

 

Le cas échéant, ils se rendaient à la maison mortuaire pour veiller le défunt en l’accompagnant de la lecture des Tehilim et des Élégies tirées du rituel de Kippour.

 

Il leur arrivait de veiller toute la nuit pour accomplir cet acte de charité par excellence à l’égard des morts, pendant la première nuit qui précédait l’inhumation.

 

De nombreux fidèles se joignaient à eux à cette occasion,  car ils aimaient eux aussi chanter les psaumes sur l’air connu à Constantine.

 

C’est ainsi que le psautier est devenu l’apanage de nombreux fidèles.

 

6. la hebra kadicha

 

Makaloufa  Fitoussi, exerçait les fonctions d’inhumateur à la disposition du Consistoire.

1siècle :

 

J. Ben Manir (14º S.)

Nathan Nadjar

Moshe Ben Schlomo Allouche

Yehuda Ben Schlomo

Youssef Ben David

Yistkhak Ben Hagege

Youssef Ben Manir

 

 

Sion Choukroun (1887-1973) :           

Grand Rabbin né le 15 octobre 1887 à Constantine, décédé le 25 juillet 1973 à Paris  et inhumé  au Mont  des Oliviers (Har Hazetim) Jérusalem.

 

Décorations :

- Palmes Académiques 1930

- Officier d'instructions publiques 1931

- Mérite civique 1931

- Aumônier des hôpitaux civils et militaires 1940

- Chevalier de la Légion d'Honneur 1960

19° siècle :

Khalfa Halimi (1820-1900)

 

Sidi Baha Halimi (1830- 1890)

Avraham Halimi, surnommé Sidi Baha, est né et a vécu à Constantine au 19e siècle et décéde en 1890.

La famille Halimi était assez connue car elle a donné naissance à de grands sages tels que Rabi Khalfa Halimi, grand père de Sidi Baha, Sidi Biniamin Halimi, père de Sidi Baha, Sidi Baha lui-même, Sidi Fredj Halimi et Avner Chalom Halimi, fils de Sidi Fredj et auteur du livre "lo amout ki eh'ye"

Nous n’en savons pas beaucoup sur Sidi Baha, à part qu’il vivait pratiquement reclus dans sa yeshiva consacrant sa vie à l’étude de la Torah et à l’écriture. Aujourd'hui après la publication de ses livres, nous pouvons enfin l’approcher de plus près.

 

Parmi ses ouvrages:

- Vayagued le Avraham  sur la hagada de pessah'

- Zekhout Avot sur les Pirkei Avot

- Vehokheah' Avraham  sur la Torah

- Maskil Leeitan  sur les Tehilim

- Yemei Avraham sur la guemara

- Knei Avraham hidouchey Torah

Sidi Bahi Allouche (?- 1893)

Sidi Eliahou Bahi Allouche, né au début du XIXe siècle, a servi de dayan de Constantine en pleine période de transition et dut affronter les premiers signes de modernité. Comme nombre de ses pairs, il dut lutter pied à pied pour conserver les prérogatives de sa charge, face aux nouveaux rabbins, émoulus du Séminaire rabbinique de France et dépêchés en Algérie pour « civiliser » leurs frères « indigènes ». Ses fidèles le surnommèrent avec affection « Ba Zézé ».

Président du tribunal rabbinique de la ville, il quitte Constantine en 1892, avec son épouse Sarah, pour s'établir à Jérusalem où il étudie dans la yéchiva « Knesset Israël » fondée par le Rav Haïm ben Attar, le Or Hahaïm Hakadoch.

Là, il rédige en 1893 son maître-ouvrage, Eretz Tov (« le Bon Pays ») qui sera publié en même temps que son éloge funèbre par le Rav Zvi Hirsh Horowitz,dans Eretz Hatzvi (« le Pays de la Splendeur ») chez l'éditeur Zuckerman. L'ouvrage a été réédité par l'Institut « Gaï Ynassé » en 1997 par les soins de Yaacov Charbit, fils du regretté rabbin Mikhaël (Adolphe) Charbit et petit-fils de Rabbi Yossef Ghrenassia, ainsi que parmi certains de ses descendants. Par ailleurs, nombre de fidèles constantinois utilisent encore son Mahzor katan pour Roch Hachana et Kippour, édité par son fils unique, Haï (Imprimerie Nadjar, Sousse, 1925).

Décédé au mois d'Av de 1893, Sidi Bahi est enterré sur le mont des Oliviers, dans l'antique cimetière séfarade de Jérusalem, non loin du tombeau de R. Haïm ben Attar, sur le versant s'inclinant vers la vallée de Kidron. Sa pierre tombale n'a pas été retrouvée à ce jour, bien que l'inscription qui y est gravée apparaisse dans un recueil, Helkat hamé'hokek recensant toutes les inscriptions funéraires ainsi que l'emplacement exact de sa sépulture et de celle de sa femme.

 

Texte de Jean-Luc Allouche

 

 

Synagogue des Tournelles                        

Rabbin : Aaron Yves-Henri Marciano

Ministre Officiant : Dan Arbib

Premier Ministre Officiant d’honneur : Adolphe Zerbib (zal)

Président : Marc Zerbib

Président d'honneur : Martial Allouche

Vice-Président d'honneur : Max Barkatz (zal)

Secrétaire Général : Serge Attal

Secrétaire : Ch. Nadjar (fax : 01 48 04 93 74)

Trésorier : David Halimi

Trésorier Adjoint : Charley Halimi

Délégué rabbinique : Mimoun Amar

Déléguée du Consistoire : Nicole Guedj

Huissiers : Alain Derey, Jacques Seban, Michel Sabbah

Gardien : Eva Sabbah (01 42 74 32 80)

Talmud Thora : Tél : 01 40 27 96 74

 

Fondation Fleishman

Ministre Officiant : Abraham Dahan

Président d'honneur : Alfred Ben Hamou

Trésorier : René Halifa

Délégué du Consistoire : Jack-Yves Bohbot

 

Synagogue Sidi Fredj Halimi

Rabbin : Joseph Toledano

Ministre Officiant : Hanania Dadouche

Président : René Ouaziz

Vice-Président d'honneur : Armand Zerbib (zal)

Secrétaire Général : Hervé Friat

Trésorier : G.  Arbib

 

Synagogue Or - Hahaïm                            

Rabbin : Guy Rahamim Hadjadj (01 47 97 77 70)

Premier Ministre Officiant : Samuel Azerad (01 42 00 04 55)

Président : André Nabet

Présidents d'honneur :

     Edouard Zerbib (zal) et Pierre Nessim Haouzi

Secrétaire Général : Alain Nakache

Secrétaire Général Adjoint : Daniel Erbaze

Trésoriers : Mireille Nakache et Henri Bensimon

Délégué du Consistoire : O. Cohen

Membre d'honneur : A. Lévi (zal)

 

Synagogue Rav Sidi Fredj Halimi

             Président : Pierre Zerbib

             Responsable Rabbin Oratoire : Ariel Elkouby

Administrateurs : Pierre Zerbib, Norbert Lalloum, André Hayoun

 

Synagogue Rav Sidi Fredj Halimi

LES SYNAGOGUES DE RITE CONSTANTINOIS AUJOURD’HUI

18, rue des Écouffes

75004 Paris

Tél. : 01 48 87 97 86

Métro : Saint-Paul

120, rue de Belleville

75020 Paris

Tél. : 01 43 66 66 93

Métro : Jourdain

21 bis,  rue des Tournelles

75004 Paris

Tél. : 01 42 71 32 80

Métro Bastille

27, place d’Eau

94000 Créteil

Tél. : 01 43 39 29 50

Métro : Créteil préfecture

11, Kikar Haatsmaout

Natanya - Israel

+972. (0)9 861 19 63

 

61-65, rue Vergniaud

75013 Paris

Tél. : 01 45 88 93 84

Métro : Tolbiac ou Corvisart

David Cohen (1876-1947)

Chimon Doukhan (1875-1948)

Moshé Guedj (1858-1944)

Réouven Guedj (1867-1953)

Braham Zerbib (1870-1942)

Pinhas Ghozlan (1876-1932)

Yahye Amsellem

Yaakov Doukhan

Shalom Ghenassia

Shimon Ghenassia

 

Yéhouda Zerbib (1888-1967)

 

David Doukhan (1880-1951)

 

Haim Zerbib (1885-1961)

 

Chlomo Zerbib (1885-1961)

 

Chimon Guedj (1897-1956)

Yoshua Laloum

Daniel Renassia (1904 –1987)

Chalom Lellouche (1912-1981)

David Ben Youssef Guenassia

Itzkhak Ben Nissim Zerbib

Isaac Zerbib (1921 –1993)

Huile sur toile de Julie Guedj (fille du Rav Sidi Fredj Halimi)

En haut de gauche à droite : David Cohen, Yossef  Renassia, Chimon Doukhan, Sidi Fredj Halimi, Moshé Guedj, Réouven Guedj, Sion Chekroun.

Au centre de gauche à droite : Braham Zerbib. Pinhas Ghozlan, Yéhouda Zerbib, David Doukhan, Haim Zerbib, Chlomo Zerbib.

En bas de gauche à d roite : Yaacov Chouchana, Daniel Renassia, Chalom Lellouche, Mickael Cherbite, Isaac Zerbib, Chimon Guedj.

16º siècle :

 

Samuel Ibn Danab (16º S.)

Yossel Karo

Nathan Zemor

 

1siècle :

 

Maîmon Nadjar (15º S.)

Eliahou Allouche

Shalom Ben Aba Meïr Boussoussa

Yaakov Fhal

Sassi Halimi

David Nakache

Schmouel Ben Moshe Trani

Itskhak Trani

1siècle :

 

Nissim Allouche

Shalom Allouche

Shimon Allouche

Fredj Boussoussa

Abraham B. Mordekhaï Guedj

Rafaël B. Abraham Guedj

David Kriskis

 

 

 

 

 

Yehuda Nabet

Abraham Nakache

Nissim Nakache

Yaakov Ouazirtat

Ytzkhak Toubiana

Kalifa Zerbib

Shimon Zerbib

Nathan Toubiana

Elihaou Ben Khalfa Guedj

Khalfa Ben Elihaou Guedj

Kalifa Hasson

Tsemah Sarfati

Elihaou Toubiana

Meïr Toubiana

Rafaël Toubiana

Schlomo Ben Kalifa Zerbib

Schlomo ben Shalom Zarka

Messod B. Youssef Ghozlan

20° siècle :

 

Réalisé par Valérie Amram d’Onofrio et Tarek  Ben Ameur

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