SOLIDARITÉ À L’ISRAÉLIENNE

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Réalisé par Valérie Amram d’Onofrio et Tarek  Ben Ameur

 

 

Alors que la protection sociale diminue chaque année en Israël, alors que l’aide aux Olim Khadashim (nouveaux immigrants juifs) est de plus en plus réduite, Israël se paye le luxe de recevoir chaque année près de 5.000 réfugiés soudanais victimes de la barbarie islamiste.

 

On croit rêver. Une guerre éclate entre deux factions islamistes faisant plus de 200.000 morts et on demande à Israël d’accueillir ceux qui hier et encore aujourd’hui acheminent des armes iraniennes vers le Hamas.

 

Ce n’est pas une blague. Et moi qui croyais que les splendides Falashas s’étaient amochis et que leurs traits si fins devenaient peu à peu négroïdes. Que nenni, il s’agissait de Soudanais comme j’en ai rencontré beaucoup dans mon hôtel à Eilat ou je me trouvais il y a 15 jours. Étonnée de ne pouvoir parler ni hébreu , ni anglais avec eux, j’apprends de leurs collègues qu’ils ne communiquent qu’en arabe. Dans un hôtel 5 étoiles, ca fait stylé.

 

Pendant que nous collections couvertures et chaussettes pour nos frères de Sdéroth qui se congelaient dans leur miklat l’hiver dernier, le Gouvernement Israélien lui s’occupait des réfugiés soudanais. Après la forte immigration russe non juive, cela fait bonne mesure.

 

Ensuite on viendra nous accuser de ne pas faire preuve de solidarité.

 

Et dans un pays démocratique, lorsqu’on devient minorité, que se passe-t-il ? On disparaît ! Alors, solidaires, je ne sais pas si nous le sommes, mais cons ça c’est sur.